Andy Warhol – Laurent Strouk – Galerie Paris 8ème

Quelques oeuvres du célèbre artiste américain Andy Warhol sont présentées par Laurent Strouk dans sa galerie parisienne.

http://www.laurentstrouk.com/en/artists/warhol-andy

True Love – Acrylic and silkscreen printing on canvas – 25 x 20 cm – Signed and stamped on the reverse – 1984

“Pop Art is about liking things”. “Le Pop Art, c’est imiter les choses”.

Andy Warhol est un artiste américain né en 1928 et mort en 1987. Précurseur du mouvement Pop Art, il est mondialement connu comme peintre, dessinateur, réalisateur et socialite.

Il fait ses études au Carnegie Insitute of Technology de Pittsburgh où il obtient le titre de Bachelor of Fine Arts.

En 1949, il s’installe à New-York, et commence à travailler comme dessinateur publicitaire pour le magazine Glamour. Il travaille ensuite pour les magazines Vogue et Harper’s Bazaar  et crée ses premiers croquis pour le fabricant de chaussures I.Miller.

Dans les années 60’, il commence à photographier et peindre des amis et des étrangers, des célébrités, des gens dansant dans les soirées, des mannequins en train de défiler, des corps nus, des diners, des pages de magazines…L’artiste s’est intéressé à tout ce qui constituait la société d’alors, des produits de supermarchés aux stars hollywoodiennes.

En créant la Factory en 1968, lieu de rencontre pour les artistes et les célébrités, il affirme la nécessité pour lui de la « collaboration ». L’apport artistique individuel est, selon lui, mineur par rapport à un apport collectif. En témoignent ses travaux avec Jean-Michel BASQUIAT et son soutien à Keith HARING.

Warhol est un « trendsetter », un faiseur de tendances. Des années durant, il influence le monde de la nuit new-yorkaise.

Tout ce qu’il fait, tout ce qu’il crée suit une suite logique ; tout a un sens.

Marylin, les bouteilles de Coca-Cola, les cannettes de soupe Campbell, Mao et les chaussures sont des icones modernes qui permettent de comprendre la société américaine.

En faisant de la consommation une forme d’art ; en détournant les produits de la culture populaire et en les transformant en œuvres d’art, Warhol a fait de la consommation une forme d’art. De là est née sa notoriété. Le nom Andy Warhol est devenu équivalent à une marque, à un logo, reconnaissable par tous et pas seulement par le monde de l’Art.

Miss Smith – Acrylic and silkscreen printing on canvas – 100 x 100 cm – Circa 1974

 

 

 

Reversal Marylin
Acrylique et sérigraphie sur toile
50 x 40 cm
1979/1986

 

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galerie Laurent Strouk

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Philippe Pasqua à la galerie Laurent Strouk – Paris – Art Actuel

la galerie d’Art contemporain, Laurent Strouk, présente à Paris, des oeuvres de l’artiste français Philippe Pasqua : http://www.laurentstrouk.com/artistes/pasqua-philippe

Philippe Pasqua est né à Grasse en 1965.

S’il recourt à des supports et des techniques diverses et variés, cet artiste autodidacte est un peintre portraitiste avant tout.

Le vaudou et les fétiches ont marqué le début de sa carrière. Ceux-ci font maintenant place aux portraits, aux nus et aux vanités.

Ses techniques sont multiples : huiles sur toile, dessins, sculptures en bronze ou en marbre et même tatouages.

L’être humain est la source d’inspiration première de sa peinture. Il cherche, au travers de ses portraits d’aveugles, de trisomiques, de transsexuels, de femmes et d’enfants, une force, une émotion, une vraie vie dans sa peinture !

Ses tableaux sont violents, puissants, imposants. Sa motivation première n‘est pas l’esthétisme mais l’expressivité.

De tous formats, ses œuvres peuvent être gigantesques et atteindre 6 mètres de haut.

Dans ses petits formats, Philippe Pasqua laisse jaillir la peinture par touches et tente de donner cette impression de vie et d’énergie que seul le premier jet permet.

Comme le dit si bien David Rosenberg : « Aujourd’hui, la question pour Pasqua n’est plus de savoir quand un tableau est fini (par définition, il ne le sera jamais) mais quand la peinture commence à exister. Et c’est bien là que réside la force de toutes ces toiles qui sont autant de splendides et fulgurants commencements. »

Philippe Pasqua collectionne également les crânes humains. Il les recouvre de feuilles d’or ou d’argent et de papillons naturalisés.

Mais ses vanités aux papillons peuvent être aussi fondues en bronze et recouverte de différentes patines ou encore sculptées dans de monumentaux blocs de marbre de Carrare.

Elles servent, enfin, de sujet pour la réalisation de « techniques mixtes sur papier », mélange de dessins et de peinture.

Vanité aux papillons –
Bronze chromé noir – Fondeur Bocquel
8 ex – H : 23 x 48 x 48 cm
2011

Vanité
Technique mixte sur papier
100 x 70 cm
2011

Etude
Huile sur toile
100 x 81 cm
2010/2011

Portrait
Huile sur toile
180 x 160 cm
2012

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Kossigan Aguessy, Pieke Bergmans – Multiversités créatives

«Multiversités créatives» est une exposition consacrée à la prospective industrielle et à de nouveaux territoires et outils créatifs. Elle entraîne ses visiteurs sur la piste de l’expérimentation, de la recherche et des travaux prospectifs dans les domaines de l’architecture, du design, des nouvelles technologies et de l’innovation sociale.

 

L’expression «multiversité» trouve son origine dans le monde industriel. Elle sert aujourd’hui de mot-clé pour une génération de créateurs dont l’âge moyen est de 35 ans. Leur génération se lance dans l’infini des calculs et des réseaux pour en donner une traduction esthétique et humaine. Au carrefour des disciplines, et à travers quinze projets conçus et réalisés spécialement pour l’occasion, l’exposition rend compte de l’actualité de leurs expérimentations technologiques et plastiques.

Ces projets illustrent et décryptent la révolution contemporaine des processus créatifs, multiples et en transformation. Ils éclairent les problématiques émergentes dans la création d’aujourd’hui qui renouvellent nos expériences quotidiennes, cognitives, imaginaires et esthétiques.

L’un de ces projets est issu d’un nouvel espace d’innovation, un Fab Lab (laboratoire de fabrication), organisé par le Centre Pompidou en février 2012 avec le soutien de la Fondation Zinsou et le Centre Songhaï à Porto Novo, au Bénin. D’autres sont des expérimentations des laboratoires de recherche les plus pointus au monde, spécialement réalisées pour l’exposition: le Media Lab du MIT (Massachusetts Institute of Technology, Cambridge, États-Unis), l’Institute for Computational Design de Stuttgart et l’Institut de recherche sur l’Enseignement des Mathématiques de Paris VII.

Réunis autour de trois thématiques — Générer — Fabriquer — Représenter — ces projets rassemblent les propositions de chercheurs en architecture et en design, fondées sur des modèles de conception et d’innovation computationnelles, avec de nouveaux processus d’engendrement des formes et des structures. Ils montrent comment les Fab Lab reconfigurent les communautés et les réseaux de création pour agir sur des bases de développement durable. Ils invitent le visiteur à manipuler les données d’Internet en les visualisant graphiquement. Par leur formidable échelle, à la fois minuscule et immense, ces dispositifs interactifs suggèrent des horizons de projections sensibles totalement inédits.

source : http://www.paris-art.com/agenda-culturel-paris/multiversites-creatives/casey-reas–lustlab/13880.html#haut

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Ulrich Lamsfuss – Afternoons in Utopia

Ulrich Lamsfuss propose une série de peintures hyperréalistes et déstabilisantes, qui interrogent notamment la notion d’originalité. Utilisant un procédé de copie d’images qu’elles empruntent à diverses sources, ses œuvres reprennent ainsi certains motifs qu’elles insèrent dans une série de portraits de personnalités célèbres ou d’inconnus.

Celui qui se décrit comme un «post picture artist» poursuit son travail de «destruction par la peinture». Sa démarche est bien connue: Ulrich Lamsfuss emprunte des images de sources variées — publicité, presse, cinéma, photographies personnelles — qu’il reproduit méticuleusement à l’huile sur toile. Ce procédé de copie, par le changement d’échelle qu’il implique, par la sensualité du medium et l’interprétation de l’artiste, transforme radicalement le sujet.

Les arrachant à la prolifération généralisée des images, Ulrich Lamsfuss sublime des motifs a priori insignifiants ou vulgaires et nous force par là à regarder autrement. Derrière une vanité théâtrale se cache une publicité pour souliers de luxe. Derrière un portrait classique, le visage neutre d’un mannequin. Derrière un Caravage, une mauvaise reproduction de manuel d’histoire.

A la fois copie et original, les peintures de Ulrich Lamsfuss tendent des pièges au spectateur devenu enquêteur: «chercher le motif, c’est trouver le coupable» explique-t-il. L’art de l’appropriation est fondamental pour l’artiste qui avoue: «où que j’aille j’ai le sentiment que quelqu’un a déjà été avant moi.»

Consacrant des mois à la réalisation d’une œuvre, Ulrich Lamsfuss examine au rythme de la peinture l’éternel retour des représentations dans le flux des images rapidement consommées.

Pour cette exposition, l’artiste a composé un parcours autour du thème du portrait. Visages célèbres ou inconnus, portraits de commande ou photos volées, une vingtaine d’œuvres dialoguent pour un voyage à travers notre culture visuelle, depuis Lil’ Kim jusqu’à Michel Houellebecq.

Le titre «Afternoons in Utopia», emprunté au groupe new wave berlinois Alphaville, évoque les promesses et les illusions d’une époque, et suggère à nouveau l’érosion entre la réalité et ses représentations.

source : http://www.paris-art.com/agenda-culturel-paris/afternoons-in-utopia/ulrich-lamsfuss/13580.html#haut

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Raphaël Zarka Les Prismatiques

Déjà présente dans plusieurs œuvres qu’a réalisées Raphaël Zarka ces dernières années, la forme autour de laquelle s’articule l’exposition — un prisme dont la base s’apparente à un triangle rectangle tronqué — est directement reprise d’un petit objet en bois, la clef de châssis, utilisé par les peintres au dos de leurs toiles pour en ajuster la tension. Elle est ici abordée comme un module à partir duquel se déploie, sur le mode la permutation, une série de sculptures et de dessins.

Les modules qui composent les trois sculptures que rassemble l’exposition ont été taillés dans des billes de chêne de taille identique, en opérant chaque fois, selon le même modèle, un unique trait de coupe. Pour chacune des œuvres, 12 ou 16 éléments agencés de différentes manières se combinent pour former une configuration spécifique, comme dans un jeu de construction. On pense notamment au «Tangram», ce puzzle ancestral chinois dans lequel de petites pièces géométriques sont juxtaposées pour créer des formes figuratives. Comme dans une série précédente utilisant le même type de pièce de bois, Les Billes de Sharp (2008), se décline également dans les «Prismatiques», un jeu entre la régularité des traits de coupe et l’aléatoire des lignes structurelles du bois.

Le groupe de dessins à l’encre qui accompagne les sculptures semble avoir ce double statut contradictoire de les préfigurer et de les prolonger, à la fois dessins préparatoires et développement logique de la série. Ils montrent d’autres configurations possibles à partir de la même forme de la clef de châssis et existent comme autant de sculptures potentielles, suggérant que ce qui nous est donné à voir dans l’exposition, n’est qu’un fragment d’une suite de permutations beaucoup plus vaste. Réalisés en utilisant un type de perspective et des couleurs qui peuvent rappeler celles des Primitifs italiens, ils semblent renouer avec la conception ancienne du dessin comme «designo»: dessin autant que dessein, renvoyant autant à l’esquisse qu’à l’idée avant sa matérialisation.

Le troisième composant de l’exposition, une série d’images noir et blanc extraites d’une collection que Raphaël Zarka développe depuis quelques années, pourrait être abordé comme une variation à rebours, au sein d’un champ de références issues de contextes variés, développée à partir des «Prismatiques». Ce qui réunit ici la Nécropole des Grotticelli, l’autel qu’installa Goethe à Weimar pour son amie Charlotte von Stein, les «stellations» de Max Bruckner ou le portrait d’Abraham Sharp, c’est la présence dans chacune des images de combinaisons de formes géométriques. Présentées en contrepoint aux «Prismatiques», ces constructions éclairent différents aspects des sculptures et des dessins: les questions du prisme, du module, de la série, de la permutation, du socle, etc. Elles témoignent également de la manière dont les formes géométriques constituent pour Raphaël Zarka, les manifestations visibles d’un réseau de liens souterrains traversant les espaces et les époques.

source : http://www.paris-art.com/exposition-art-contemporain/les-prismatiques/zarka-raphael/13611.html

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Ellsworth Kelly

Le travail pictural d’Ellsworth Kelly n’a pas fait l’objet d’exposition à Paris depuis 20 ans. La dernière exposition en date a eu lieu en 1992 aux Galeries Nationales du Jeu de Paume et mettait en lumière la période 1948-1954 pendant laquelle l’artiste résidait à Paris.

Ellsworth Kelly a souvent dit qu’il s’inspirait du monde qui l’entoure, concentrant jusqu’à l’abstraction des fragments visuels, comme la forme d’une feuille, une voûte architecturale, le pli d’une page ou la courbe d’un corps. Tout au long de sa longue carrière Ellsworth Kelly a constamment revisité la courbe dans ses peintures, dessins ou sculptures les plus emblématiques.
Les prémices des courbes en relief que nous montrons datent de ses premiers collages et peintures réalisés pendant les années où il habitait et travaillait à Paris après la Seconde Guerre mondiale.

La courbe est apparue très tôt dans l’art de Ellsworth Kelly. Un large arc surplombe la forme verticale de Kilometer Marker (1949), tandis que deux courbes, complémentaires sans être identiques, descendent en direction des deux coins inférieurs de Relief with Blue (1950). Comme Ellsworth Kelly l’a expliqué à de nombreuses reprises, la forme de Relief with Blue a pour origine un croquis qu’il a fait pendant une représentation d’Hamlet au Théâtre Marigny à Paris à la fin des années quarante. L’élément en relief, avec ses bordures intérieures courbes, évoque la forme d’un rideau entrouvert.

Ellsworth Kelly entretient depuis très longtemps une relation privilégiée avec Paris. C’est à l’époque où il y habitait que Ellsworth Kelly a opéré une transition entre peinture figurative et premiers essais de totale abstraction et où il a, pour la première fois, introduit le hasard dans ses recherches, se fondant sur la Seine ou l’architecture parisienne. C’est également à Paris qu’il a fait les premières peintures Spectre et Relief qui changèrent à jamais son rapport entre la peinture et le mur comme support, entre peinture et sculpture, couleur et forme.

L’œuvre qu’Ellsworth Kelly cite souvent comme sa «première œuvre» n’est autre qu’une peinture inspirée des fenêtres du Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris:
«Au lieu de fabriquer une image qui serait une interprétation d’une chose vue, ou une image au contenu inventé, j’ai trouvé un objet que j’ai «représenté» comme ce qu’il était. Mon premier objet a été Window, Museum of Modern Art, Paris, réalisé en 1949. Après avoir construit Window avec deux toiles et un cadre en bois, j’ai pris alors conscience que dorénavant la peinture telle je l’avais connue jusqu’à maintenant, ce serait terminé pour moi. Mes œuvres par la suite seraient des objets, sans signature, sans nom.»

 

source : http://www.paris-art.com/agenda-culturel-paris/ellsworth-kelly/ellsworth-kelly/13702.html#haut

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Taryn Simon A Living Man Declared Dead and Other Chapters I-XVIII

Taryn Simon
A Living Man Declared Dead and Other Chapters I-XVIII

Dans chacun des chapitres qui composent l’œuvre, des influences extérieures, qu’elles soient territoriales, circonstancielles, religieuses ou liées au pouvoir, se heurtent à celles, intérieures, des héritages physiques et psychologiques. Taryn Simon prend, entre autres, pour sujet des victimes du génocide en Bosnie, des lapins de laboratoire contaminés par des maladies mortelles en Australie, la première femme à détourner un avion, ou encore les paysans dépossédés de leurs terres en Inde.

«A Living Man Declared Dead» se divise en 18 chapitres. Chaque chapitre comprend trois segments.
Le premier, une série de portraits grand format, montre uniquement des individus unis par les liens du sang. Ces photographies rassemblent ascendants et descendants vivants d’un même individu.
Taryn Simon expose également des portraits vides, ceux des membres qui, bien qu’encore en vie, n’ont pas pu être photographiés. Ces images sont accompagnées de textes narratifs dans lesquels l’artiste dévoile des précisions sur les différentes lignées. Elle explique les raisons de ces absences: emprisonnement, service militaire, dengue, ou interdiction faite à certaines femmes d’être prises en photo.
La dernière partie développe et place dans le contexte les segments précédents tels des notes de bas de page.

Selon Roxana Marcoci, curatrice du département Photographie au MoMA, «ce projet capital de Taryn Simon détermine les capacités du médium photographique à sonder les histoires complexes de sociétés contemporaines, tout en les classifiant selon des procédés d’archivage, dans un système qui relie les notions d’identités, de généalogie, d’histoire et de mémoire».
À la fois cohérent et arbitraire, l’assemblage de ces tirages trace le plan des rapports entre hasard, liens du sang, et autres facteurs d’une destinée. En contraste avec le classement méthodique des lignées, les éléments au centre des histoires de vie — violence, détermination, corruption et survie — subvertissent l’apparence extrêmement structurée de l’œuvre dans son ensemble. «A Living Man Declared Dead and Other Chapters I-XVIII» met l’accent sur l’espace entre texte et image, absence et présence, ordre et anarchie.

Taryn Simon est née en 1975 à New York, où elle vit et travaille. Parmi ses œuvres précédentes, citons Contraband (2010), une archive d’images d’objets retenus ou confisqués à des passagers ou aux bureaux de poste lors de leur arrivée aux Etats-Unis; An American Index of the Hidden and Unfamiliar (2007), qui dévoile les objets, sites et lieux fondateurs de l’Amérique, notamment dans sa mythologie ou son fonctionnement quotidien et qui pourtant sont inconnus du public, ou inaccessibles; The Innocents (2003), une analyse de certains cas d’erreurs judiciaires aux Etats-Unis, qui pose la question de la crédibilité du témoin photographique, et de sa capacité à faire justice.
Le travail de Taryn Simon a fait l’objet d’expositions personnelles à la Tate Modern de Londres, à la Neue Nationalgalerie de Berlin, au Whitney Museum of American Art de New York, au Museum für Moderne Kunst de Frankfurt, au Kunst-Werke Institute for Contemporary Art de Berlin et au MoMA PS1 de New York.
«A Living Man Declared Dead and Other Chapters I-XVIII» a été présenté dans son intégralité à la Tate Modern de Londres (du 25 mai 2011 au 2 janvier 2012) ainsi qu’à la Neue Nationalgalerie de Berlin (du 21 septembre 2011 au 1er janvier 2012).
«A Living Man Declared Dead and Other Chapters I-XVIII» aura lieu du 2 Mai au 3 septembre 2012 au MoMA, de New York.

 

source : http://www.paris-art.com/agenda-culturel-paris/a-living-man-declared-dead-and-other-chapters-i-xviii/taryn-simon/13725.html#haut

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Thierry Costesèque – Demain le Nord

Thierry Costesèque peint des tableaux de grand format d’un certain «infra-réalisme», représentant formes, traits et signes de la vie urbaine. En utilisant des outils étrangers au métier d’artiste peintre, il donne à ses tableaux un aspect brut, d’une picturalité abstraite, que l’on retrouve également dans la peinture américaine.

Thierry Costesèque
Demain le Nord

Thierry Costesèque est un artiste plasticien français, né à Saigon au Vietnam en 1970. Il obtient son diplôme de l’école nationale supérieure des beaux-arts de Paris en 1994.

Dans sa façon d’aborder l’espace du tableau proche des démarches de Robert Rauschenberg, Thierry Costesèque développe une réflexion sur la matière de la peinture, sur le geste et l’espace: «Je peins ce qui me sépare du monde. L’espace m’interpelle dans sa disposition, ce qui oblige mon corps à pivoter, réagir physiquement. Je mémorise les espaces qui me regardent.»

Ces recherches le mènent à travailler avec différents objets (fragments de papier, d’emballages, punaises ou morceaux de plastiques) en créant des assemblages et collages. Cette pratique, en résonance avec sa peinture, le rapproche des démarches de dAdA (dans la façon d’aborder l’espace urbain et ses représentations) et de l’expressionnisme (par sa traduction en peinture «expérimentale»), mais dans une mise en question de la peinture.

C’est dans cette perspective qu’il intervient directement dans la ville. On peut retrouver la démarche de Francis Alÿs, quand Thierry Costesèque repeint des objets de la ville, comme des bornes ou des bords d’autoroute. Ancrées dans sa réflexion sur la peinture, ces interventions ont un effet tout à fait différent de celles d’Alÿs: elles inversent la notion de l’espace. Si l’espace du tableau servait, dans l’histoire de l’art, comme représentation de l’espace, par ses interventions, Thierry Costesèque arrive à modifier cette perception: c’est désormais la ville qui fait tableau. Cet effet permet aux spectateurs du tableau de réaliser qu’ils font partie intégrante d’un imaginaire en constante évolution.

Extrait du texte «Dans l’espace de la peinture. Sur les pratiques de Thierry Costesèque» par J. Emil Sennewald, 2012

source : http://www.paris-art.com/agenda-culturel-paris/demain-le-nord/thierry-costeseque/13738.html#haut

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